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Recommandations et référentiels

une structure spécialisée en douleur chronique

Français de l’IASP

La douleur est sur le plan clinique une entité plurielle qui peut se décliner en :

– douleur aiguë survenant en réponse à une atteinte tissulaire mettant en jeu l’intégrité de l’organisme,
– douleur procédurale provoquée par les soins médicaux,
– douleur chronique considérée en tant que « douleur maladie ».

De plus, pour la douleur chronique, il est possible de définir différents types de douleur (nociceptive ou inflammatoire, neuropathique et dysfonctionnelle) selon les mécanismes qui la supportent.

Douleur chronique

Douleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l’évaluer et orienter le patient (2008)

L’objectif de ces recommandations est de favoriser la mise en œuvre de parcours de soins adaptés pour les patients exprimant une douleur chronique et de favoriser les échanges entre les professionnels des structures spécialisées et ceux qui leur adressent des patients.
L’enjeu de ces recommandations est d’améliorer la qualité de vie des patients présentant une douleur chronique, partant du principe que toute douleur exprimée doit être entendue et suivie d’un traitement adapté.

Douleur chronique : les aspects organisationnels)

Le point de vue des structures spécialisées (2009)

Douleurs neuropathiques

La SFETD a élaboré des recommandations professionnelles concernant les douleurs neuropathiques chroniques (de durée au moins égale à trois mois) de l’adulte et de l’enfant. Ces recommandations sont destinées à l’ensemble des professionnels de santé confrontés aux douleurs neuropathiques en ambulatoire : généralistes, neurologues, rhumatologues, gériatres, odontologistes, kinésithérapeutes et infirmiers.

Migraine-céphalée

 
 

Cancer

 
 

Use of Hydromorphone and Change of Opioid in Cancer Pain G. Chvetzoff1, M. Filbet2, C. Delorme3, M. Magnet4, T. Delorme5, D. Ammar6,†, E. Collin7, N. Michenot8, S. Faure9, P. Hubault10, L. Baron11, S. Rostaing12, C. Minello13, N. Jovenin14, I. Krakowski15 et P. Poulain16* Douleur analg. (2018) 31:109-119

L’objectif de ces “Standards, Options et Recommandations” est de fixer les modalités d’administration du nouvel opioïde dans la prise en charge de la douleur due au cancer

L’objectif du programme SOR à destination des professionnels de santé est d’améliorer la qualité de la prise en charge des patients atteints de cancer en fournissant aux praticiens des documents d’aide à la décision médicale contenant une information accessible et actualisée. Initié en 1993 par la Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer (FNCLCC), ce programme est piloté par
l’Institut National du Cancer (INCa) depuis mai 2008.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte et l’enfant atteints de cancer. Elles visent à améliorer la qualité de la prise en charge des patients en fournissant aux praticiens une aide à la décision facilement utilisable et actualisée. Cette brochure présente conjointement les recommandations issues des «Standards, Options et recommandations pour la prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions lombaires, osseuses et sanguines chez l’adulte» et «Standards, Options et recommandations pour la prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions lombaires, osseuses et sanguines chez l’enfant ».

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

Trois sociétés savantes, l’AFSOS, la SFAP et la SFETD, dans le cadre de la réactualisation des Standards Options and Recommandations pour la prise en charge de la Douleur due au Cancer, ont proposé à un groupe de travail d’experts issus de ces sociétés d’établir ces recommandations qui concernent l’utilisation de la méthadone dans les douleurs du cancer.

L’objectif de ces “Standards, Options et Recommandations” est de d’offrir aux médecins un document de référence basé sur une synthèse de littérature pour traiter la douleur cancéreuse par excès de nociception chez l’adulte.

Utilisation des opioïdes

Promoteur : Société Française d’Evaluation et de Traitement de la Douleur

Lombalgie

 

Douleur post opératoire

Douleur post opératoire (DPO) : soulager l’inconfort, limiter le risque de chronicisation

Quelle prévalence, quel chemin parcouru ?

La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) a réalisé un audit sur la DPO et sa prise en charge en 2008 auprès de 2000 patients. La douleur préopératoire du site chirurgical était très fréquente (62,7%), intense au repos, et surtout au mouvement. Elle était présente depuis plus d’un an dans 35,6% des cas. La DPO à J1 était de 88,6%, continue dans 64,6%, au repos dans 90,6% et au mouvement dans 99,6%.(Fletcher D, Fermanian C, Mardaye A, Aegerter P. Pain and regional anesthesia committee of the French Anesthesia and Intensive Care Society (SFAR). A patient-based national survey on postoperative pain management in France reveals significant achievements and persistent challenges. Pain 2008;137:441–51). Quant aux Etats Unis, une analyse par l’Académie Nationale de Médecine de la prise en charge de la douleur aiguë et chronique en 2011 a permis de relever que 80% des patients opérés souffraient en postopératoire (88% de douleurs modérées à sévères), et moins de 50% d’entre eux étaient correctement soulagés. (Institute of Medicine. Relieving pain in America. USA: National Academies Press; 2011; ISBN-13.9780-0-309-21484-1). Le nombre d’actes chirurgicaux dépasse les 300 millions par an dans le monde (100 millions aux Etats Unis et en Europe) avec une augmentation de près de 35% entre 2004 et 2012 (Macrae WA. Chronic post-surgical pain: 10 years on. Br J Anaesth. 2008 Jul;101(1):77-86. doi: 10.1093/bja/aen099. Epub 2008 Apr 22). En France, s’il parait peu probable de supprimer totalement la douleur après l’un des 7 millions d’actes chirurgicaux réalisés dans près de 8000 blocs opératoires, il est indispensable d’améliorer nos pratiques. Cette démarche vertueuse passe par le choix d’un outil d’évaluation de la douleur, adapté au patient, d’une stratégie thérapeutique qui tient compte des paramètres liés au parcours du patient, voire de l’introduction de techniques d’approches sophistiquées qui peuvent être non médicamenteuses.

Depuis 20 ans, des actions de correction et d’amélioration des pratiques ont été proposées, telles que la production et la diffusion de recommandations, le développement de techniques de pointe (analgésie auto-contrôlée par le patient par voie intraveineuse ou péridurale : PCA ou PCEA, anesthésie loco-régionale : ALR). Les résultats médiocres de plusieurs enquêtes ont abouti aussi à une prise de conscience des Autorités quant à la nécessite de mettre en œuvre des plans et programmes d’action douleur afin de sensibiliser les acteurs de soins tout en harmonisant les pratiques.

Règles fondamentales

L’analgésie postopératoire est indissociable de la sécurité des patients, en particulier en postopératoire. Outre l’inconfort engendré, la douleur augmente le risque de morbidité et de mortalité notamment cardio-vasculaire. Il est donc indispensable de traiter correctement le « cinquième signe vital », notamment après la chirurgie ou un geste de médecine interventionnelle. Des techniques analgésiques peuvent être également associées à des évènements indésirables parfois sévères. C’est le cas de opioïdes qui doivent être utilisés de façon raisonné et raisonnable.
L’analgésie est de plus en plus « à la carte », adaptée au patient et à son histoire personnelle. La prise en charge d’une DPO ne sera pas identique entre deux patients opérés pourtant de la même chirurgie, selon que l’un des patients a ou non un parcours chaotique, qu’il a été opéré à de multiples reprises ou s’il présente une fragilité psychologique. On évoque alors la notion de « vulnérabilité à la douleur » pour des patients qui peuvent notamment développer une chronicisation de leur DPO.
L’analgésie est également multimodale avec la nécessité absolue d’administrer des antalgiques à sites d’action différents. Il s’agit au mieux d’obtenir d’un effet synergique ou simplement additif. L’idée est d’améliorer l’efficacité antalgique tout en réduisant les doses des médicaments, notamment des opioïdes.
L’épargne morphinique est également la règle avec en corollaire, une réduction de l’incidence des effets secondaires liés à ces médicaments.

Fibromyalgie

​Rédigé par la HAS à la demande du Ministère de la santé, ce rapport d’orientation fait un état des lieux des données disponibles (hors sciences fondamentales) concernant le syndrome fibromyalgique de l’adulte et propose des orientations aux professionnels de santé pour prendre en charge les personnes qui en souffrent.

Médecine d'urgence

​Cette réactualisation concerne la pratique de la sédation et/ou de l’analgésie dans la globalité de l’exercice de la médecine d’urgence, à la fois à l’extérieur, mais également dans l’établissement de soins autorisé à recevoir des urgences.

Sujet âgé & douleur de l'enfant

Douleur de l’enfant (douleur du cancer, prise en charge médicamenteuse, douleur post-opératoire, céphalées et migraine)

Référentiels - Cahiers de la SFETD

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Recommandations et référentiels

La douleur est sur le plan clinique une entité plurielle qui peut se décliner en :

– douleur aiguë survenant en réponse à une atteinte tissulaire mettant en jeu l’intégrité de l’organisme,
– douleur procédurale provoquée par les soins médicaux,
– douleur chronique considérée en tant que « douleur maladie ».

De plus, pour la douleur chronique, il est possible de définir différents types de douleur (nociceptive ou inflammatoire, neuropathique et dysfonctionnelle) selon les mécanismes qui la supportent.

Recommandations

Douleur chronique

Douleur chronique : reconnaître le syndrome douloureux chronique, l’évaluer et orienter le patient (2008)

L’objectif de ces recommandations est de favoriser la mise en œuvre de parcours de soins adaptés pour les patients exprimant une douleur chronique et de favoriser les échanges entre les professionnels des structures spécialisées et ceux qui leur adressent des patients.
L’enjeu de ces recommandations est d’améliorer la qualité de vie des patients présentant une douleur chronique, partant du principe que toute douleur exprimée doit être entendue et suivie d’un traitement adapté.

Douleur chronique : les aspects organisationnels)

Le point de vue des structures spécialisées (2009)

Douleurs neuropathiques

La SFETD a élaboré des recommandations professionnelles concernant les douleurs neuropathiques chroniques (de durée au moins égale à trois mois) de l’adulte et de l’enfant. Ces recommandations sont destinées à l’ensemble des professionnels de santé confrontés aux douleurs neuropathiques en ambulatoire : généralistes, neurologues, rhumatologues, gériatres, odontologistes, kinésithérapeutes et infirmiers.

Migraine-céphalée

 
 

Cancer

 
 

Use of Hydromorphone and Change of Opioid in Cancer Pain G. Chvetzoff1, M. Filbet2, C. Delorme3, M. Magnet4, T. Delorme5, D. Ammar6,†, E. Collin7, N. Michenot8, S. Faure9, P. Hubault10, L. Baron11, S. Rostaing12, C. Minello13, N. Jovenin14, I. Krakowski15 et P. Poulain16* Douleur analg. (2018) 31:109-119

L’objectif de ces “Standards, Options et Recommandations” est de fixer les modalités d’administration du nouvel opioïde dans la prise en charge de la douleur due au cancer

L’objectif du programme SOR à destination des professionnels de santé est d’améliorer la qualité de la prise en charge des patients atteints de cancer en fournissant aux praticiens des documents d’aide à la décision médicale contenant une information accessible et actualisée. Initié en 1993 par la Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer (FNCLCC), ce programme est piloté par
l’Institut National du Cancer (INCa) depuis mai 2008.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte et l’enfant atteints de cancer. Elles visent à améliorer la qualité de la prise en charge des patients en fournissant aux praticiens une aide à la décision facilement utilisable et actualisée. Cette brochure présente conjointement les recommandations issues des «Standards, Options et recommandations pour la prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions lombaires, osseuses et sanguines chez l’adulte» et «Standards, Options et recommandations pour la prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions lombaires, osseuses et sanguines chez l’enfant ».

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

L’objectif de ces recommandations pour la pratique clinique est de déterminer les règles de prise en charge des douleurs provoquées lors des ponctions sanguines, lombaires ou osseuses chez l’adulte atteint de cancer.

Trois sociétés savantes, l’AFSOS, la SFAP et la SFETD, dans le cadre de la réactualisation des Standards Options and Recommandations pour la prise en charge de la Douleur due au Cancer, ont proposé à un groupe de travail d’experts issus de ces sociétés d’établir ces recommandations qui concernent l’utilisation de la méthadone dans les douleurs du cancer.

L’objectif de ces “Standards, Options et Recommandations” est de d’offrir aux médecins un document de référence basé sur une synthèse de littérature pour traiter la douleur cancéreuse par excès de nociception chez l’adulte.

Utilisation des opioïdes

Promoteur : Société Française d’Evaluation et de Traitement de la Douleur

Lombalgie

Douleur post opératoire

Quelle prévalence, quel chemin parcouru ?

La Société Française d’Anesthésie et de Réanimation (SFAR) a réalisé un audit sur la DPO et sa prise en charge en 2008 auprès de 2000 patients. La douleur préopératoire du site chirurgical était très fréquente (62,7%), intense au repos, et surtout au mouvement. Elle était présente depuis plus d’un an dans 35,6% des cas. La DPO à J1 était de 88,6%, continue dans 64,6%, au repos dans 90,6% et au mouvement dans 99,6%.(Fletcher D, Fermanian C, Mardaye A, Aegerter P. Pain and regional anesthesia committee of the French Anesthesia and Intensive Care Society (SFAR). A patient-based national survey on postoperative pain management in France reveals significant achievements and persistent challenges. Pain 2008;137:441–51). Quant aux Etats Unis, une analyse par l’Académie Nationale de Médecine de la prise en charge de la douleur aiguë et chronique en 2011 a permis de relever que 80% des patients opérés souffraient en postopératoire (88% de douleurs modérées à sévères), et moins de 50% d’entre eux étaient correctement soulagés. (Institute of Medicine. Relieving pain in America. USA: National Academies Press; 2011; ISBN-13.9780-0-309-21484-1). Le nombre d’actes chirurgicaux dépasse les 300 millions par an dans le monde (100 millions aux Etats Unis et en Europe) avec une augmentation de près de 35% entre 2004 et 2012 (Macrae WA. Chronic post-surgical pain: 10 years on. Br J Anaesth. 2008 Jul;101(1):77-86. doi: 10.1093/bja/aen099. Epub 2008 Apr 22). En France, s’il parait peu probable de supprimer totalement la douleur après l’un des 7 millions d’actes chirurgicaux réalisés dans près de 8000 blocs opératoires, il est indispensable d’améliorer nos pratiques. Cette démarche vertueuse passe par le choix d’un outil d’évaluation de la douleur, adapté au patient, d’une stratégie thérapeutique qui tient compte des paramètres liés au parcours du patient, voire de l’introduction de techniques d’approches sophistiquées qui peuvent être non médicamenteuses.

Depuis 20 ans, des actions de correction et d’amélioration des pratiques ont été proposées, telles que la production et la diffusion de recommandations, le développement de techniques de pointe (analgésie auto-contrôlée par le patient par voie intraveineuse ou péridurale : PCA ou PCEA, anesthésie loco-régionale : ALR). Les résultats médiocres de plusieurs enquêtes ont abouti aussi à une prise de conscience des Autorités quant à la nécessite de mettre en œuvre des plans et programmes d’action douleur afin de sensibiliser les acteurs de soins tout en harmonisant les pratiques.

Règles fondamentales

L’analgésie postopératoire est indissociable de la sécurité des patients, en particulier en postopératoire. Outre l’inconfort engendré, la douleur augmente le risque de morbidité et de mortalité notamment cardio-vasculaire. Il est donc indispensable de traiter correctement le « cinquième signe vital », notamment après la chirurgie ou un geste de médecine interventionnelle. Des techniques analgésiques peuvent être également associées à des évènements indésirables parfois sévères. C’est le cas de opioïdes qui doivent être utilisés de façon raisonné et raisonnable.
L’analgésie est de plus en plus « à la carte », adaptée au patient et à son histoire personnelle. La prise en charge d’une DPO ne sera pas identique entre deux patients opérés pourtant de la même chirurgie, selon que l’un des patients a ou non un parcours chaotique, qu’il a été opéré à de multiples reprises ou s’il présente une fragilité psychologique. On évoque alors la notion de « vulnérabilité à la douleur » pour des patients qui peuvent notamment développer une chronicisation de leur DPO.
L’analgésie est également multimodale avec la nécessité absolue d’administrer des antalgiques à sites d’action différents. Il s’agit au mieux d’obtenir d’un effet synergique ou simplement additif. L’idée est d’améliorer l’efficacité antalgique tout en réduisant les doses des médicaments, notamment des opioïdes.
L’épargne morphinique est également la règle avec en corollaire, une réduction de l’incidence des effets secondaires liés à ces médicaments.

Fibromyalgie

​Rédigé par la HAS à la demande du Ministère de la santé, ce rapport d’orientation fait un état des lieux des données disponibles (hors sciences fondamentales) concernant le syndrome fibromyalgique de l’adulte et propose des orientations aux professionnels de santé pour prendre en charge les personnes qui en souffrent.

Médecine d'urgence

​Cette réactualisation concerne la pratique de la sédation et/ou de l’analgésie dans la globalité de l’exercice de la médecine d’urgence, à la fois à l’extérieur, mais également dans l’établissement de soins autorisé à recevoir des urgences.

Sujet âgé & douleur de l'enfant

Douleur de l’enfant (douleur du cancer, prise en charge médicamenteuse, douleur post-opératoire, céphalées et migraine)

Référentiels - Cahiers de la SFETD

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